Charles De Foucauld


 

 

Photos : Les Petites Soeurs de Jésus

Prière de Charles de Foucauld

Premier épisode.

 

1858, Strasbourg. Le 15 Septembre de cette année là, naît Charles. La famille De Foucauld, une famille de militaires, est très croyante et très pratiquante.

Charles est ondoyé à la maison deux jours après sa naissance. C’est à dire qu’il reçoit simplement l’eau du baptême. Le baptême est complété deux mois plus tard à l’église de la paroisse.

Charles est un enfant heureux. Il a trois ans lorsque naît sa sœur Marie.

Mais ce bonheur est assombri par la mort de sa maman,
Puis peu de
temps après par l
a mort de son papa.

Charles a six ans, Marie en a trois.

Le colonel De Morlet et sa femme, leurs grands-parents, accueillent les deux enfants dans leur grande maison. C'est désormais la seule famille qui reste à Charles

Le Colonel De Morlet et sa femme accueillent les deux enfants dans leur grande maison.

C'est désormais la seule famille qui leur reste,...

 

 

avec la cousine de Normandie qui a une grande place dans la vie de Charles.

Le colonel De Morlet a de grandes ambitions pour son petit-fils et il désire plus que tout que Charles perpétue la tradition familiale en devenant lui aussi militaire.

Charles est un garçon intelligent, sa mémoire ne lui fait pas défaut et toutes les conditions sont réunies pour qu’il réussisse brillamment ses études. Toutes les conditions ?... Non ! Charles ne porte pas beaucoup d’intérêt à l’enseignement qu’on lui donne et la discipline n’et pas son fort !

Entre lui et son grand-père, le conflit est assuré après chaque bulletin de notes. Notes désastreuses, et remarques désobligeantes quant au comportement du jeune garçon. Mais Charles est aussi très entouré par l’affection de son grand-père, qu’il aime beaucoup.
Charles tient tête et son caractère impulsif ne l’aide pas beaucoup à se faire des amis.

Un jour, Charles est occupé à la construction d’un château de sable. Il s’absente quelques temps, et quand il revient, il trouve dans son œuvre quelques pommes de terre placées là par un petit voisin pour simuler les boulets de canon.
Charles est tellement furieux de voir qu’on a touché à son jeu, qu’il détruit sa construction à grands coups de pied.

Mais si Charles a un caractère colérique, il sait aussi se montrer calme et patient.
A Noël, par exemple il passe des heures avec sa petite sœur à construire la crèche de Noël, s’appliquant aux moindres détails. Ou bien, lors des promenades, il se retire et quand il se retrouve seul, se met à rêver d’aventures ou admire le paysage pendant des heures entières.

1870, la guerre éclate. L’Allemagne occupe l’Alsace et la Lorraine. Le colonel De Morlet quitte Strasbourg et vient s’installer avec Charles et Marie à Nancy.

Charles a 14 ans. C’est le moment pour lui de se préparer à la première communion.
Charles prépare ce moment avec beaucoup de sérieux. Lui qui n’a pas un goût prononcé pour le travail et l’effort, semble s’intéresser à ce moment-là où il fera pour la première fois sa communion.

Mais Charles perd peu à peu le goût de la religion. Penser à Dieu ne semble pas une priorité pour lui et il finit par perdre la foi.

Il obtient son Baccalauréat et à 18 ans fait son entrée à l’école militaire de Saint-Cyr.

Le jeune homme commence à mener une vie peu exemplaire ; s’amusant beaucoup, travaillant peu. Il dépense sans compter l’argent qu’il a reçu en héritage et se soucie peu de la morale ni de Dieu !

En menant une telle vie, Charles ne doit pas s’étonner des mauvais résultats dans ses études.

C’est de justesse qu’il est admis à l’école de cavalerie de Saumur, où d’ailleurs il n’a absolument pas l’intention de changer de rythme de vie. Il continue de fréquenter les restaurants de luxe avec ses amis plutôt intéressés par sa fortune que par Charles lui-même.

Et puis le régiment dans lequel il est affecté est désigné pour partir en Afrique. Charles est sous-lieutenant. Mais son manque de respect des règles commence à lui jouer de mauvais tours ! Bientôt, il perd son emploi.
Charles revient en France.

Mais Charles a fait connaissance avec l’Afrique et est en quelque sorte tombé amoureux de ce continent.
C’est là, en Afrique, que la providence l’attend !

Au deuxième épisode, vous saurez ce que va faire Charles quand il apprendra que son ancien régiment est appelé dans le Sud-Oranais
Et comment Charles va surprendre tout le monde par son comportement.

Il veut partir en Afrique, mais il est loin de se douter de ce qui l’attend …..

 

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Deuxième épisode

 

Charles apprend que son ancien régiment est envoyé au Sud-Oranais pour contrôler et calmer une révolte.

En Charles naît une passion pour l’Afrique. Il voudrait aller à Oran lui aussi et l’envie se fait tellement forte qu’il demande au ministère de la guerre de le laisser rejoindre son régiment. Il accepte même de servir le pays comme simple soldat, renonçant à son grade d’officier.

Sa demande est acceptée. Charles part à Oran et garde son grade de sous-lieutenant. Il est heureux ! Il compte bien se donner entièrement à sa mission et au grand étonnement de tous, Charles se montre courageux, généreux, se souciant d’abord de ses hommes avant de penser à lui.

Un jour, après une journée harassante, ses hommes assoiffés se ruent vers un puits. Charles se met à la recherche d’une bouteille de rhum afin d’améliorer le goût de l’eau et redonner ainsi courage aux soldats épuisés.

La guerre terminée, Charles revient en France. L’Afrique le fascine de plus en plus et il voudrait partir explorer le Maroc, pour connaître les coutumes et la vie de ce pays. Il demande donc un congé pour ce travail qu’il veut entreprendre. Le congé lui est refusé.

Charles démissionne.

Il prépare avec soin son départ pour le Maroc, trouve un guide, juif marocain qui accepte de l’accompagner à condition que Charles se fasse passer pour un juif. A cette époque il n’était pas facile pour un français de rentrer au Maroc.
Charles accepte la condition et se fait passer pour un juif moscovite. Mais avant de partir il lui faut apprendre un minimum sur les coutumes, Ce qu’il peut faire et ne pas faire, et les rites juifs. Son guide sera d’un précieux secours.

En juin 1883, arrivés à Tanger, ils rejoignent une caravane. Arrivent à Tétouan, puis à Fez et enfin à Taza.
Charles note tout ce qu’il voit autour de lui dans un petit carnet. Il ne veut rien oublier, même dans les petits détails.

Il est temps de songer au retour ! En Algérie, il s’embarque pour la France et fait imprimer toutes les observations faites au Maroc et fait un livre :

« Reconnaissance au Maroc »

Dessins de Charles

Charles aime les voyages en Afrique. Mais dans la vie active et intellectuelle qu’il a choisie, il se pose quelques questions. En particulier sur Dieu.

Il voudrait bien retrouver la foi, et lorsqu’il passe devant une église, il entre pour essayer de prier.

Voici sa prière :

« Mon Dieu, si vous existez faites le moi connaître »

Un jour, Charles rencontre un prêtre ; l’abbé Huvelin ; Il lui demande alors des explications sur la religion.

L’abbé Huvelin a ce jour-là une surprenante réaction :


Au lieu de lui donner les explications que lui demande Charles, il le fait entrer dans le confessionnal et lui pardonne ses péchés au nom de Dieu.

Charles reçoit le sacrement de réconciliation.

Quand il sort du confessionnal, Charles a retrouvé la foi ! Aussitôt sous les conseils de l’abbé Huvelin, il communie. Le père Huvelin lui dit alors :

« Notre Seigneur a tellement pris la dernière place,

que personne n’a pu lui la ravir »

 


Cette dernière phrase va droit au cœur de Charles ! Il n’a plus qu’une idée en tête, ressembler le plus possible à Jésus.
Lui qui aimait tant faire la fête et faire bonne chère, se met maintenant à jeûner et à se priver. Le désir de faire la volonté de Dieu habite déjà son cœur !

Un jour, Charles est invité à manger chez des amis pendant le carême. Il accepte l’invitation, mais demande que soit fait un repas très simple.

Charles cherche sa voie et l’idée de rentrer dans un monastère pour se retirer du monde lui vient à l’esprit. Et c’est en se promenant avec sa cousine Marie de Bondy, qu’il a l’occasion de visiter une trappe. En regardant les moines trappistes travailler, il se dit :

« C’est une vie qui me conviendrait, j’en suis sûr ! »

Mais l’abbé Huvelin lui conseille de faire un pèlerinage en Terre Sainte : en Palestine.

Charles arrive à Jérusalem et avant même de trouver un logis pour la nuit, se rend à la basilique du Saint Sépulcre où il reste en prière toute la nuit.

Dès le lendemain, il se met en route sur les traces de Jésus et comme la fête de Noël approche, il décide d’aller à Bethléem, là où Jésus est né.

Il est marqué par sa visite à Nazareth, où Jésus a grandi, vécu, aimé, travaillé… Dieu qui est si grand a vécu pendant trente ans, une vie si simple. Charles n’a plus qu’une idée en tête : vivre avec Jésus, et comme Jésus à Nazareth.

Puis il revient en France et vient rendre compte au Père Huvelin de son voyage en Terre sainte.

L’abbé Huvelin va alors lui proposer une chose qui va éclairer Charles sur son avenir …

 

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Troisième épisode

 

A son retour de son pèlerinage en Terre Sainte, Charles retrouvel’abbé Huvelin. Il veut devenir moine et se confie au prêtre.

L’abbé Huvelin lui propose alors de faire une retraite, Charles en fera quatre ; deux chez les moines trappistes de Soligny pas très loin de Paris,

et deux à notre Dame des Neiges en Ardèche.

 

 

C’est à Notre Dame des Neiges

que Charles choisit de se retirer pour devenir moine.

 

Le jour de la Saint Albéric, Charles revêt l’habit religieux et reçoit le nom de Frère Marie-Albéric.

Maintenant Charles échange sa vie de voyageur et d’intellectuel contre une vie plus rude. Il devient le bûcheron de la communauté.

 

Levé de très bonne heure le matin, la vie de Charles est rythmée par la prière et le travail.


Si Charles trouve à Notre Dame des Neiges la vie qui lui convient, il veut malgré tout se rapprocher du pays où Jésus a vécu et demande à rejoindre les moines de Akbès en Syrie. Sa demande est acceptée.


A Akbès, la vie est plus dure encore.
Elle y est plus pauvre et avec les moines viventune vingtaine d’orphelins de six à quinze ans.

C’est Charles qui s’en occupe.

 

 

Après avoir accompli deux années de noviciat, Charles prononce ses vœux simples et commence à se préparer pour la prêtrise par ordre de son supérieur. Charles, lui, ne se sent pas digne d’être prêtre, mais l’obéissance est sa règle.

La trappe d’Akbès est très pauvre, mais pas assez pour Charles... Il veut vivre encore plus comme Jésus, et il pense que Jésus était à Nazareth aussi pauvre que les familles pauvres voisines du monastère. Alors il désire une vie aussi simple et pauvre que celle de ces familles.

L’abbé Huvelin apprend le projet de Charles et s’y oppose, jugeant que Charles agissait peut-être par orgueil. Mais voyant l’insistance du jeune moine, il finit par céder.

Charles n’a pas encore fait ses vœux définitifs, il peut donc quitter la trappe, mais il doit obtenir l’autorisation du

Pape Léon XIII.

Le supérieur du monastère lui transmet quelques temps plus tard l’autorisation de suivre son projet de fonder un nouvel ordre. Il peut maintenant quitter la trappe.

Le seul désir de Charles ; être toujours plus proche de Dieu en vivant comme Jésus à Nazareth et avec lui, et faire tout son possible pour le salut des âmes.

Il décide alors de se rendre à Nazareth et propose ses services de domestique aux sœurs Clarisses. IL a trente neuf ans. Il loge dans une cabane tout près du monastère des sœurs. Ainsi il peut suivre Jésus dans le dénuement le plus total.

Trois ans plus tard, Charles rentre à Paris et rencontre l’abbé Huvelin. Celui-ci soulève la question du sacerdoce et lui conseille de continuer ses études pour devenir prêtre. Charles accepte, revient à Notre Dame des Neiges pour s’y préparer,


mais l’idée de fonder les « ermites du Sacré Cœur » ne le quitte pas. Il leur donne bientôt un autre nom et les appelle « Petits frères du Sacré Cœur ». Il voudrait implanter cet ordre en Terre Sainte, puis au Sahara.


Charles est ordonné prêtre à Viviers le 9 juin 1901, il a quarante trois ans.

Il découvre alors que vivre comme Jésus à Nazareth, ça peut se vivre ailleurs qu’à Nazareth. Et que pour vivre comme Jésus, il lui faut non pas se retirer dans la solitude, mais rejoindre les plus délaissés… Comme Jésus qui vivait dans son village, avec des gens très simples.

Charles va se laisser guider par l’Esprit Saint.


Il se rend donc à Béni-Abbès. Et là, il commence à partager son temps entre les soldats et les malades qui viennent le voir, puis les esclaves, les voyageurs et même les curieux qui se demandent qui est cet homme étrange avec son habit blanc sur lequel est cousu un cœur surmonté d’une croix ?

Qui donc est cet homme qui travaille beaucoup, mange peu et dort à peine ?
Charles, l’ancien officier, n’est pas au bout de ses surprises !
Un jour, un jeune officier, le colonel Lyautey passant par Béni-Abbès vient le voir. Le futur maréchal Lyautey et Charles se connaissent pour avoir fait campagne ensemble. L’émotion est grande quand les deux hommes se serrent la main ! et un second officier se présente à Charles.

Une autre connaissance ! Le commandant Laperrine.


Laperrine ne vient pas seulement en ami, il est particulièrement intéressé par son camarade de garnison devenu ermite, puisqu’il cherche à gagner la confiance du chef des touaregs.
Laperrine sait que Charles a de bonnes relations avec ce chef et connaissant les passions de Charles lui propose une expédition dans le sud du pays.
Charles est séduit par la proposition, et sans le savoir, il va se retrouver sur le chemin de Tamanrasset, chemin qu’il n’a pas vraiment choisi.
Et pourtant c’est à Tamanrasset que Dieu attend Charles.

 

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Quatrième épisode

1905, Charles a quarante sept ans. Adieu le Maroc !

Laperrine propose une expédition à Charles, ils se rejoignent au Hoggar, plus dans le sud du pays. C’est un endroit perdu, isolé tellement pauvre, tellement peu peuplé que Charles se rend vite compte que fonder les « petits frères et petites sœurs du Sacré Cœur » devient une chose impossible.
Il décide de changer ses projets et veut pour lui la vie la plus simple, la plus pauvre et la plus fraternelle qui soit.

Charles arrive à Tamanrasset. Tout de suite il est séduit par le climat et surtout par la beauté des montagnes qui entourent le village. Tamanrasset ne sera jamais un grand centre ; pas de soldats, simplement quelques familles : à peine une quinzaine ! Tout à Tamanrasset plaît à Charles.


Il commence à construire son ermitage : simplement un coin pour prier, un autre pour manger et un troisième pour dormir. Pas plus qu’il n’en faut pour vivre !


Mais Charles n’est pas tout de suite accepté par les habitants qui ne veulent pas
partager leur eau avec un étranger ! Charles doit s’installer un peu plus loin, à l’écart du village pour pouvoir creuser son puits et cultiver son petit jardin sans déranger personne.

 

Le père Charles de Foucauld n’est pas venu au pays des touaregs pour les convertir à la religion catholique, non, il est venu pour partager la vie des gens et vivre comme Jésus, dans la pauvreté pour être témoin de l’Amour de Dieu.


Charles vit sa foi Chrétienne, parmi un peuple musulman

 

Et le peuple Musulman ne semble pas vouloir lier amitié avec Charles qui ne voit pas beaucoup de monde :

Il ne veut pas forcer les relations. Il attend donc dans la prière et la solitude !

 


Peu à peu il se fait accepter par les habitants du village.
Charles travaille beaucoup ; il apprend la langue, les coutumes, distribue aux pauvres qui passent le peu de nourriture qu’il a, soigne les plaies des voyageurs égarés … Dans la vie de prière qu’il a choisie, son seul regret :

il voudrait prier davantage.

Les nuits sont courtes, Charles se lève tôt et mange presque rien, se soucie peu de sa santé… Charles tombe malade, il est atteint par le scorbut, il se demande si la fin de sa pauvre vie approche !

Ses appels pour demander des prêtres et des religieux, ne sont pas entendus. Il n’a pas l’’autorisation de célébrer seul la messe et pas un chrétien ne lui rend visite.

Charles est privé de ce qui lui est le plus cher à son cœur : L’Eucharistie !

Et pourtant dans toutes ces difficultés, Charles s’accroche à la vie, plus que jamais. Ce n’est pas le moment de mourir, il n’y a personne pour le remplacer !

Les touaregs savent que s’ils ne font rien pour Charles, il mourra. C’est la sécheresse dans le pays, mais ce jour-là, tous se mettent à la recherche de quelques chèvres encore capables de donner du lait. Les touaregs sont tellement touchés par la vie de leur hôte qu’ils n’hésitent pas à faire des kilomètres pour trouver les moyens de le sauver.

Charles est touché par leur bonté, c’est une vraie amitié qui s’installe. Charles vit une vraie conversion : il apprend que pour être vraiment ami, il ne faut pas que donner, il faut savoir aussi recevoir.


Il commence à avoir des visites et se fait de véritables amis parmi les touaregs et partage leur vie : les joies, les peines les soucis, les repas. Charles revit !

Puis Charles se remet de sa maladie. Il apprend quelques temps plus tard par un message de Laperrine, qu’il est autorisé à célébrer la messe seul.

 

 

1914 ! La première guerre mondiale ! 1916, la situation s’aggrave. Le père Charles de Foucauld fait construire un petit fort pour protéger la population.

Le 1er décembre 1916, on frappe à la porte du fort. Charles pensant que c’est le courrier, ne se méfie pas.il ouvre la porte, à ce moment un des pillards l’empoigne et le jette au sol.
Charles est ligoté, agenouillé et adossé au mur. Un vent de panique enveloppe tous ceux qui sont présents, et le jeune homme de quinze ans qui garde le Père Charles de Foucauld tire à bout portant ; La balle atteint Charles en pleine tête, il s’écroule sur le côté.

Charles de Foucauld,
est assassiné à l’âge de 58 ans !

 

Il aura donné toute sa vie de prêtre
Pour servir ses frères touaregs.


Le procès de béatification      
De Charles de Foucauld
A été ouvert en 1927
Par le pape Pie XI
Le 13 Novembre 2005
Charles de Foucauld est déclaré
BIENHEUREUX
Par le Pape Benoît XVI

 

Famille spirituelle de Charles de Foucauld

 

Dans le monde entier, des femmes et des hommes veulent vivre comme Jésus, à l'exemple de Charles de Foucauld.

Prêtres, religieux, religieuses ou laïcs se regroupent , pour ensemble, donner un témoignage de l' Amour de Dieu.

Sur les pas de Charles de Foucauld !

famille spirituelle de charles de Foucauld

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